À la suite des interventions opiniâtres de l’intersyndicale nationale Op@le, le chantier technique d’amélioration de l’outil promis par la direction ministérielle va enfin s’ouvrir.

Des réunions ministérielles sont convoquées par la direction (DAF et DNE) dans les jours qui viennent pour permettre aux représentant.es des personnels d’exposer leurs demandes d’évolution de l’outil.

Ainsi, après l’indispensable desserrement du calendrier de déploiement obtenu par l’intersyndicale – jusque janvier 2026 si nécessaire – l’heure est désormais à l’ouverture du chantier d’amélioration.

L’enjeu est de taille puisque le progiciel dispose d’une ergonomie unanimement et sévèrement critiquée ainsi qu’une lourdeur d’utilisation largement dénoncée. Et qu’il est présentement un outil inabouti en rapport des missions et tâches qu’il doit faciliter.

Ce chantier d’amélioration doit absolument déboucher sur des évolutions et améliorations significatives. Il en va du rétablissement des conditions de travail des personnels concerné.es.

L’intersyndicale s’y était engagée : gagner le desserrement du calendrier de déploiement et ouvrir le chantier des évolutions indispensables : ce sera chose faite dès le mardi 28 janvier, au siège du ministère, jour de la première réunion du groupe de travail « évolutions ». Puis, nous enchainerons par une réunion du groupe de suivi Op@le, le 5 février.

Pour préparer très sérieusement ces deux rendez-vous importants, notre syndicat réunit sa commission nationale EPLE le jeudi 23 janvier, sur le sujet. L’objectif fixé : que nos représentant.es de chaque académie formulent très concrètement les demandes d’évolutions et d’améliorations à faire remonter à la direction ministérielle.

En bref, porter les demandes des personnels concerné·es, jouer pleinement notre rôle d’organisation syndicale en capacité de porter haut les demandes des collègues, y compris lorsqu’elles concernent le champ de la pratique professionnelle.